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« Il s’agit d’un important projet visant à équiper les gouvernements, les ONG et le secteur privé, dont les entités des médias sociaux, de données pour concevoir des réponses efficaces en vue d’un monde en ligne plus sécuritaire. »

La ministre du Développement international, Karina Gould, au lancement du projet du CIGI en faveur d’un Internet plus sécuritaire

La violence sexospécifique en ligne, du cyberharcèlement à l’usurpation en passant par la distribution non consensuelle d’images intimes, est un problème majeur sur les médias sociaux et les autres plateformes numériques. Dans le cadre de son projet en faveur d’un Internet plus sécuritaire, le CIGI examine comment ces attaques contre les femmes et les personnes LGBTQ+ font taire des voix et entraînent l’exclusion numérique. Pour y remédier, des experts et des chercheurs du CIGI de l’Afrique, de l’Amérique latine et d’autres pays du Sud s’emploient à concevoir des politiques et des recommandations concernant la gouvernance.

L’agrégée supérieure du CIGI, Suzie Dunn, explique que la violence sexospécifique en ligne est souvent ignorée ou minimisée parce que certaines personnes considèrent que les abus en ligne sont moins nocifs que les abus physiques. La ministre canadienne du développement international, Karina Gould, a dit que ce projet était une étape importante pour la « conception d’une réponse efficace en vue d’un monde en ligne plus sécuritaire. »

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Rapport annuel 2021